4 filles courent sur un pont en transportant du bois pour passer de l’ile forêt vers l’ile de la plage.
elles ont réussi à construire un radeau.
une fille tremble et dit j’ai peur.
Una autre fille regardent sur le côté et aperçoit 3 autres filles déjà sur place, sur le côté en train de bronzer.
elle demande : T’es sûr qu’ils n’arriveront pas à nous rejoindre au milieu de la mer ?
L’une des fille qui bronze répond : Ce que vous faites ne sert à rien.
Allez les filles, venez passer du bon temps avec nous.
Mais l’une des fille qui construit le radeau s’énerve : Bande de débiles !
Si vous croyez qu’on va vous laisser monter dans notre bateau, vous vous mettez les doigts dans l’œil.
On vous laissera crever ici.
Et l’autre fille qui était en train de bronzer qui répond :
T’inquiète pas ma belle, on ne compte pas du tout voler ton bateau pourri ou même de nous enfuir.
On a déjà accepté notre sort.
Tant qu’à se faire démonter, autant essayer d’y prendre du plaisir.
Mais en attendant l’inéluctable, profitons un max du paysage.
L’autre fille qui construit le radeau : Vous me dégoutez !
Vous êtes déjà des prostituées dans vos têtes de salopes.
La fille qui construisait le radeau retourne dans la forêt et Clémentine est en train de creuser un trou avec une pelle artisanale.
Elle lui demande : Ah ça y’est ! Tu t’es enfin décidé à te cacher comme tout le monde.
Clémentine qui répond : Pas du tout. Je suis en train de construire un piège.
La fille s’exclame alors : Mais t’es sérieuse ?
T’es la seule à croire qu’on peut les battre.
Ce sont des hommes !
Clémentine : Hors de question de laisser ces vermines m’attraper sans combattre.
Mon père m’a toujours appris à combattre, qu’importe la situation.
Et Clémentine qui regarde vers le ciel et pense à Nuggets et Lappy :
Et je sais que mes frères, eux aussi n’auraient jamais abandonné.
On va tous les défoncer, ces raclures.